Les pies sautillent, le soleil brille et fond dans l’ciel.
Tables pleines de noms, de graffs ici et là.
Les pieds dans les plantations de souris, un soupire, esquive dans un vertige, écrit sans fin les vies qui traînent ici et là.
Les pies grimpent, s’agrippent aux brindilles.
Le soleil brille et fond dans l’gris.
Le beat dans le casque ne se lasse pas, tourne en lacos, assis au milieu des lacets que font les cyclistes.
En roue libre, des courses dans les allers-retours, sur une roue et sur roulettes.
Les pies s’envolent, le ciel dans l’gris, ou le soleil fond et brille.
Sa forme, ronde comme des cachetons, les arbres blancs et calcinés, dans un fond d’air compact à suffoquer.
Les souffrances piaillent, dans une fuite, trop de fièvres crament, fondent du ciel en gouttes de braises et de verres brisés.
Sent ça.
Un Blunt qui brûle.
Gumo, 2004. « Sans titre N°8-1 ».
Tables pleines de noms, de graffs ici et là.
Les pieds dans les plantations de souris, un soupire, esquive dans un vertige, écrit sans fin les vies qui traînent ici et là.
Les pies grimpent, s’agrippent aux brindilles.
Le soleil brille et fond dans l’gris.
Le beat dans le casque ne se lasse pas, tourne en lacos, assis au milieu des lacets que font les cyclistes.
En roue libre, des courses dans les allers-retours, sur une roue et sur roulettes.
Les pies s’envolent, le ciel dans l’gris, ou le soleil fond et brille.
Sa forme, ronde comme des cachetons, les arbres blancs et calcinés, dans un fond d’air compact à suffoquer.
Les souffrances piaillent, dans une fuite, trop de fièvres crament, fondent du ciel en gouttes de braises et de verres brisés.
Sent ça.
Un Blunt qui brûle.
Gumo, 2004. « Sans titre N°8-1 ».
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